Mérida Wood
Let's do
something stupid ☇ MESSAGES : 332
☇ PSEUDONYME : Line
☇ CRÉDITS : myself+tumblr
☇ ÉTUDES/MÉTIER : Peintre
☇ STATUT : Libre comme l'air
| Sujet: Mérida ► Like a hurricane Sam 22 Sep - 19:25 | |
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Mérida Wood Informations générales nom : Wood◮ prénom : Mérida◮ âge : 27ans ◮ date & lieu de naissance : 30mars1985 à Glastonbury ◮ statut : A prendre ◮ métier/études : Artiste peintre ◮ caractères (adjectifs qualificatifs) : Ouverte – Introvertie – Extravertie - Expressive – Mystérieuse – Révolutionnaire – Rebelle – Dominatrice – Directe – Insolente - Sans pitié - Egoïste – Travailleuse – Menteuse – Narcissique – Optimiste ◮ groupes : Fools. ◮ nature du personnage : Inventé. à savoir sur moi
Quote. « Vis la vie tant qu'elle est là et vis la fort ! »
Petite phrase entendue dans un film et qui depuis n’avait cessé de la suivre pour devenir son mantra. Philosophie de vie qu’elle s’évertue à suivre. Simple citation prononcé par un acteur pour gagner son pain, il l’avait apprise par cœur et dite devant la caméra en essayant de lui donner de l’importance, avait il saisi ce qu’il était en train de dire ? Avait il seulement comprit le quart du sens de ces douze mots ? Une chose au moins était certaine, il n’avait pas imaginé l’impact qu’ils auraient sur une jeune fille assise dans une salle de cinéma londonienne. Ils lui avaient fait prendre conscience que la vie est aussi éphémère qu’une goute de rosée glissant d’une feuille verte pour aller mourir sur le sol froid de l’aube. Quand ont veut une chose il faut la prendre avant qu’elle ne parte.
Family.
Son paternel, l’être le plus important dans sa vie. Elle ferait tout pour lui, mais à condition que celui-ci fasse quelques choses pour elle avant. La femme qui l’avait mise au monde ayant vite fait de prendre ses escarpins à son coup. Monsieur Wood avait alors du prendre en charge sa fille en plus de sa propre vie, ce qui pour un homme n’est pas une tâche aisée. Il l’avait élevé pendant de nombreuses années, enfin pour dire la vérité son père travaillait beaucoup quand elle était petite alors ses nombreuses nounous avaient tenté de lui inculquer un semblant d’éducation. Malheureusement leurs séjours chez les Wood avaient toujours été aussi brefs qu’insipides. Il ne lui suffisait que d’un regard et d’une fausse larme devant son père pour que chaque nourrisse se retrouve congédier sans autre forme de procès. Son père absorbait le moindre caprice de sa fille comme si il s’agissait d’une demande divine. Évidemment la jeune fille était pleinement conscience du pouvoir qu’elle avait sur son père et ne se privait pas d’en profiter. Cependant ce pouvoir se trouva sans effet une fois, une seule fois dans une vie ce n’est pas terrible, mais ça le devient quand votre vie est sur le point de changer sans que vous ne puissiez rien n’y faire.
Elle lui en voudrait sans doute toute sa vie de l’avoir obligé à quitter sa ville natale. Il l’avait déraciné et pour qui ? Ou plus tôt pourquoi ? Une femme rencontrée elle ne savait trop où. Son père lui avait fait un grand discours qui peut se résumer par « Tu vas l’adorer, moi je l’ai aimé au premier regard ». Plusieurs remarques cinglantes avaient failli franchir ses lèvres mais sa peine était trop grande pour qu’elle ne la laisse éclater. Les adieux pour sa terre natale furent encore plus déchirants quand elle arriva dans son nouveau chez soi. En Irlande… quand son père lui avait dit elle avait cru à une blague. Mais tout sourire s’était effacé de son beau visage quand la blague était devenue réelle. Elle avait tous de suite voué une haine sans borne à cette femme qui lui avait volé son père. En plus, comble du comble cette punaise avait un fils. L’ayant analysé plusieurs jours sans lui adresser le moindre mot, elle était arrivé à la conclusion qu’ils seraient plus fort à deux. Pendant quelques temps ils avaient réunis leurs forces pour faire saboter l’union des auteurs de leurs jours, mais leur entreprise c’était vite avérée nulle et non avenue. Les deux jeunes gens s’étaient alors tolérés, passant de la haine à … la haine. Cependant Mérida avait toujours été attiré par son « petit » demi-frère. Mais ce genre de sentiment se trouvait bien vite effacé par l’envie de faire de sa vie en enfer.
Ambitions.
Aucune feuille passant sous ses mains et pouvant porter une inscription ne reste vierge très longtemps. Pendant longtemps elle s’est refusée au dessin, pour la simple et bonne raison qu’on lui a toujours dit qu’elle tenait ça de sa mère et qu’elle ne veut rien à voir à faire avec cette personne. Mais quand vous avez un talent quel qu’il soi vous ne pouvez pas l’enfouir en vous bien longtemps. Sans qu’elle ne le veuille ses cahiers de cours ont commencé à ressembler plus à des cahiers de croquis qu’à des prises de notes. Même son déménagement l’a plus inspiré qu’elle ne l’aurait cru. Une prestigieuse école d’art londonienne n’a pas tardé à lui ouvrir les bras. Sa décision fut vite prise et elle sauta sur l’occasion de partir de l’Irlande pour retrouver son Angleterre chérie. Ces années loin de chez elle lui ont fait le plus grand bien. De nouvelles expériences, de nouveaux paysages, de nouvelles tête, en bref une nouvelle vie. À l’école on lui a appris à pouvoir tout dessiner mais elle préfère de loin faire des portraits. Porter sur une toile toute la complexité d’un regard ou d’un sourire, c’est beaucoup plus important à ses yeux que de représenter des forets et des pots de fleurs. Ses portraits se trouvent déjà dans plusieurs galeries mais elle vise plus grand. Elle veut avoir le choix, de décider dans quels galeries elle expose, à combien elle vend ses toiles et surtout d’en tirer tous le bénéfice et ne plus devoir en laisser une partie à des intermédiaires. Le talent elle l’a, il ne lui reste plus qu’à en convaincre le reste du monde.
Traveling.
Quand on veut vivre à 100 à l’heure sans se soucier du lendemain on se doit de scionner le monde au gré de ses envies. Ce n’est pas avec ce que lui rapportent ses tableaux qu’elle peut voyager, mais heureusement les comptes bancaires de son père lui sont toujours entièrement ouverts. En compensation il ne manque jamais de recevoir une carte postale et un cadeau de chacune de ses destinations. Toutes les grandes capitales du monde ont laissé dans son esprit mille et un souvenirs qui ne manquent pas d’influencer sa manière de peindre. Chaque pays a ses caractéristique tout comme chacun de ses habitants. Italiens, français, allemands et même japonais, les habitants de chacun de ses pays ont des traits différents. Peut être pas visible au premier regard pour certain mais quand ont passe autant de temps qu’un peintre devant un modèle ont fini par en connaitre toutes les particularités qui en font un être différents de son voisin. Mérida a glané auprès de bon nombre de grand maître des conseilles pour s’améliorer tout en essayant de se créer son style propre. Un grand artiste n’est jamais accompli, il doit se réinventer tout au long de sa vie. Ne descendant jamais dans des hôtels luxueux au profit de petites auberges, cela lui a permit de faire connaissance avec des personnes d’horizon bien distinct, personnes qui lui ont fait découvrir leurs pays et leurs cultures comme aucun guide n’auraient pu le faire. Il lui est même arrivé de payer son séjour en faisant le portrait des gens chez qui elle avait séjourné. Chacun y voyait son intérêt, ils avaient de quoi décorer leurs murs et elle plus d’argent dans son portefeuille.
Sexuality.
Liberté ! C’est le seul mot d’ordre que la jeune femme se donne. Elle se permet de tout faire du moment qu’à la sortie elle reste libre comme l’air. Elle ne s’est jamais donné comme but de s’enchainer dans une petite vie bien rangé faite de règles et de contraintes. Elle veut aimer qui elle veut, quand elle le veut et où elle le veut. Elle n’a comme orientation que ce que ses pulsions lui indiquent, homme ou femme pourquoi se priver de l’un ou de l’autre. Les seins d’une femme sont tout aussi désirables que les pecs d’un mec. L’un est plus doux l’autre plus dur, mais les deux valent le coup. En outre, elle a plus appris sur son propres corps en prenant du plaisir avec des femmes qu’en allant en cours de science. Les décisions lui sont propres et si ça ne plait pas aux autres c’est simplement qu’ils ne la méritent pas. Quand d’autres parlent d’amour, Mérida entend seulement des moments de partages sensuels et magnétique impliquant au minimum deux corps. Beaucoup de modèles étaient passé devant elle, sur sa toile et enfin dans son lit. Le privilège des artistes sans doute, pouvoir peindre sur leur toile les plus belles créatures que la terre porte avant de les connaitre plus intimement. Elle est belle et intelligente. Mais le pire est qu’elle en est pleinement consciente et qu’elle en joue tous les jours que Dieu fait. Elle ne laisse personne indifférent que ça soi en mal ou en bien. dites-nous en plus sur votre personnage
« Un soupir, un regard, un sourire, une envie, une passion, une vengeance, une fin. Quelques qualificatifs qui ont rythmé un épisode de sa vie. Alors qu’elle ne se remettait pas de son déracinement elle avait du se rendre dans une de ses écoles remplie d’être bruyant et puant. Elle se croyait seule dans cette faune quand elle fit la connaissance de son nouveau professeur de science, jeune diplômé et fraîchement débarqué de Londres. Beau, charmant, timide il avait perçu Mérida à son image belle, charmante et timide, il se trompait honteusement mais elle ne voulait pas le contredire. Après tout c’était son professeur et on ne contredit pas son professeur. Les deux êtres s’étaient tout de suite appréciés partageant mots et rire aussi simplement que le soleil se lève chaque matin. Mais à contrario aussi vite que l’astre ne va se coucher leur amitié c’était vite transformé en passion. Lui appelait ça de l’amour elle le voyait plus comme du désir, une passion qui s’éteindrait aussi vite qu’elle n’était venue. Leur idylle devait rester secrète et elle allait le rester, si seulement il n’avait pas été aussi bête. Elle le pensait stable et mûr et au lieu de ça elle avait sur le dos un gamin qui rêvait de démissionner pour s’installer avec elle. Quand il lui avait expliqué son idée elle ne vit qu’une seule façon de se sortir de là et de le faire sortir de sa vie. Le lendemain matin elle se trouvait dans le bureau du directeur armé de son visage d’ange et de son regard remplis de fausses larmes, elle lui expliqua que son professeur de science l’avait presque obligé à se contraindre pour avoir de meilleurs notes, ce qu’évidement en jeune femme responsable elle avait refusé. Qui aurait refusé de croire cette jeune et chaste Mérida ? Il avait été renvoyé avec l’interdiction formelle de l’approcher, le pauvre homme détruit avait quitté la ville sans même avoir compris ce qu’il lui était arrivé.
Mérida Wood est comme ça. Si quelques chose ne lui plait pas elle agit sans attendre, de toute façon elle a toujours un plan d’avance. Nombre sont les gens qui en on fait les frais le long de son chemin. Des personnes insignifiantes comme des personnes très proches d’elle. Certaines le savent déjà d’autre ne le sauront probablement jamais. Comme son demi-frère, Jethro… ce qu’elle lui a fait elle ne l’a pas regretté une seconde, elle fait partie de ses gens qui assume leurs actes mais qui préfère que certains d’entre eux restent enfouis. Elle est par ailleurs étonnée qu’il ne l’ai jamais suspecté, il est conscient de tout ce qu’elle est capable pour détruire la vie de quelqu’un, pour se venger ou simplement pour chasser l’ennui. En partant cet imbécile de Jet, appelé affectueusement Pénis par sa demi-sœur, avait laissé la maison de Dublin étrangement vide. Sa personne ne lui manque pas plus mais leurs coups bas et leurs disputes lui manquent. Malheureusement pour lui la presse ne laissent jamais le temps aux « stars » de se poser dans un endroit sans que le reste de la planète ne soi alerté. Ainsi donc cet avorton c’était réfugié à Glastonbury. Chez elle ! Elle lui envoya un mail évasif pour lui annoncer qu’elle allait débarquer dans son havre de paix, il prendrait surement ça pour une blague. Ou ne le lirait pas du tout voyant qu’il venait d’elle. La surprise n’en serait que plus grande. » et toi, t'es qui au fait ? prénom/pseudo : Pauline - Line - âge : 21ans - célébrité choisie : Katie McGrath - votre présence : Régulière - où avez-vous connu le forum : Une petite sirène à fait plouf et m’en a parlé - le mot de la fin : .
Dernière édition par Mérida Wood le Sam 22 Sep - 20:29, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Mérida ► Like a hurricane Sam 22 Sep - 19:30 | |
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Mérida Wood
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| Sujet: Re: Mérida ► Like a hurricane Sam 22 Sep - 19:43 | |
| - Tamara Rosewood a écrit:
et attends c'est dans quoi "une petite sirène à fait plouf et m'a tout raconté" ?? c'est pas dans PDC ? Exactement c'est là dedans xD et c'est bien moi la méchante demi soeur! Merci merci pour cet acceuil |
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Jethro Whelan
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| Sujet: Re: Mérida ► Like a hurricane Sam 22 Sep - 19:45 | |
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| Sujet: Re: Mérida ► Like a hurricane Sam 22 Sep - 20:01 | |
| Katie, Katie, Katie J'étais obligé de polluer ta fiche rien que pour ça, bienvenue autrement |
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| Sujet: Re: Mérida ► Like a hurricane Sam 22 Sep - 20:14 | |
| Bienvenue & bon courage pour ta fiche ! Katie |
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Mérida Wood
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| Sujet: Re: Mérida ► Like a hurricane Sam 22 Sep - 20:36 | |
| Merci merci ! =D Et Sab t'inquiète tu pourra vite détester Mérida |
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Jethro Whelan
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Mérida Wood
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| Sujet: Re: Mérida ► Like a hurricane Sam 22 Sep - 20:51 | |
| Merci |
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| Sujet: Re: Mérida ► Like a hurricane | |
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