« Un soupir, un regard, un sourire, une envie, une passion, une vengeance, une fin.
Quelques qualificatifs qui ont rythmé un épisode de sa vie. Alors qu’elle ne se remettait pas de son déracinement elle avait du se rendre dans une de ses écoles remplie d’être bruyant et puant. Elle se croyait seule dans cette faune quand elle fit la connaissance de son nouveau professeur de science, jeune diplômé et fraîchement débarqué de Londres. Beau, charmant, timide il avait perçu Mérida à son image belle, charmante et timide, il se trompait honteusement mais elle ne voulait pas le contredire. Après tout c’était son professeur et on ne contredit pas son professeur. Les deux êtres s’étaient tout de suite appréciés partageant mots et rire aussi simplement que le soleil se lève chaque matin. Mais à contrario aussi vite que l’astre ne va se coucher leur amitié c’était vite transformé en passion. Lui appelait ça de l’amour elle le voyait plus comme du désir, une passion qui s’éteindrait aussi vite qu’elle n’était venue. Leur idylle devait rester secrète et elle allait le rester, si seulement il n’avait pas été aussi bête. Elle le pensait stable et mûr et au lieu de ça elle avait sur le dos un gamin qui rêvait de démissionner pour s’installer avec elle. Quand il lui avait expliqué son idée elle ne vit qu’une seule façon de se sortir de là et de le faire sortir de sa vie. Le lendemain matin elle se trouvait dans le bureau du directeur armé de son visage d’ange et de son regard remplis de fausses larmes, elle lui expliqua que son professeur de science l’avait presque obligé à se contraindre pour avoir de meilleurs notes, ce qu’évidement en jeune femme responsable elle avait refusé. Qui aurait refusé de croire cette jeune et chaste Mérida ? Il avait été renvoyé avec l’interdiction formelle de l’approcher, le pauvre homme détruit avait quitté la ville sans même avoir compris ce qu’il lui était arrivé.

Mérida Wood est comme ça. Si quelques chose ne lui plait pas elle agit sans attendre, de toute façon elle a toujours un plan d’avance. Nombre sont les gens qui en on fait les frais le long de son chemin. Des personnes insignifiantes comme des personnes très proches d’elle. Certaines le savent déjà d’autre ne le sauront probablement jamais. Comme son demi-frère, Jethro… ce qu’elle lui a fait elle ne l’a pas regretté une seconde, elle fait partie de ses gens qui assume leurs actes mais qui préfère que certains d’entre eux restent enfouis. Elle est par ailleurs étonnée qu’il ne l’ai jamais suspecté, il est conscient de tout ce qu’elle est capable pour détruire la vie de quelqu’un, pour se venger ou simplement pour chasser l’ennui.
En partant cet imbécile de Jet, appelé affectueusement Pénis par sa demi-sœur, avait laissé la maison de Dublin étrangement vide. Sa personne ne lui manque pas plus mais leurs coups bas et leurs disputes lui manquent. Malheureusement pour lui la presse ne laissent jamais le temps aux « stars » de se poser dans un endroit sans que le reste de la planète ne soi alerté. Ainsi donc cet avorton c’était réfugié à Glastonbury. Chez elle ! Elle lui envoya un mail évasif pour lui annoncer qu’elle allait débarquer dans son havre de paix, il prendrait surement ça pour une blague. Ou ne le lirait pas du tout voyant qu’il venait d’elle. La surprise n’en serait que plus grande. »

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Mérida Wood a écrit:

► Des gens qui accepteraient qu’elle leur tire le portrait

je me dis qu'éventuellement Danny aurait pu se retrouver dans ce cas une fois, mais qu'au final elle n'aurait pas pu tirer son portrait parce qu'il est incapable de tenir en place plus de deux minutes, toujours à être distrait parce que quelque chose dans la pièce ou à l'extérieur a attiré son attention. Niveau caractères, le fait que Mérida s'amuse souvent de joutes verbales sur les autres, pourrait intrigué/intéressé Danny par ce qu'elle trouverait à redire sur lui, ou même sur les autres s'il venait à la surprendre à tirer les bretelles d'un autre, et en fin de compte le prendrait assez à la légère. Si j'ai bien compris, c'est pour chasser l'ennui qu'elle éparpillerait son venin, et bien Danny se serait aussi pour se distraire qu'il la regarderait faire à l'occasion, histoire de voir jusqu'où vont ses ressources. Et à l'occasion, si l'envie lui prend de lui rendre la pareille, il pourrait bien le faire, histoire de voir où ça mène. Enfin là, j'avoue que je vois pas trop où toutes ces idées mènent, c'est un peu fouilli tout ça mais si ça t'inspire quelque chose

Oui!

Alors! Mérida prendrait très mal le fait de ne pas savoir finir son portrait! je la vois bien traquer Danny pour pouvoir le finir elle serait en quelques sorte "intrigué" aussi par lui mais par ce jeune homme tellement jeune mais déjà si mature. Ils pourraient se retrouver souvent pour discuter mais elle aurait toujours en tête l'envie de finir son dessin. ça peut être une bonne base non?

oh c'est parfait, ça me donne déjà des idées de ce qu'il trouverait à lui redire face à sa traque/persévérance Et se retrouver souvent pour discuter, ils garderaient donc un certain contact à côté de ça, sans se contenter de simples retrouvailles au détour d'une rue ? Ça me va personnellement, je trouve que c'est bien sympa tout ça

Hoo j'avais pas vu ta réponse --'!

Parfait alors

Mérida Wood a écrit:

► Des gens qui accepteraient qu’elle leur tire le portrait

Je pense que Bonnie serait du genre à se laisser peindre même nue

Ma Mérida serait enchantée de la peindre ! ET SURTOUT NUE!! =D j'irais lire ta fiche rapidement

Est-ce que Mérida serait sur genre à peindre dans la rue ?
Parce que je ne me demande comment elles auraient pu se rencontrer.