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 Somebody help me tame this animal.

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AuteurMessage
Lauren Prescott

Lauren Prescott

MESSAGES : 137
PSEUDONYME : chasinghearts (margot)
DOUBLE-COMPTE : none (yet).
CRÉDITS : jimmy
ÉTUDES/MÉTIER : directrice des ressources humaines.
STATUT : célibataire.
QUARTIER : glastonbury center (001)

PARTY IN THE WOOD
Disponible pour rp: Oui
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MessageSujet: Somebody help me tame this animal.   Somebody help me tame this animal. Icon_minitimeJeu 27 Sep - 21:15

Somebody help me tame this animal.

Feat Lauren Prescott & Blake Stanwyck.

Somebody help me tame this animal. Tumblr_maxsvl9f3c1rhda2bo1_500


Installée confortablement dans l'un des cafés de la ville, Lauren était totalement absorbée par l'ouvrage qu'elle était entrain de lire. C'était la première fois depuis quelques semaines qu'elle arrivait enfin à ne pas relire cent fois la même phrase sans jamais la comprendre et qu'elle parvenait à avancer. Il fallait dire que malgré le bruit ambiant qui régnait ici, les claquements de porte incessants, et le monde qui s'y trouvait d'une manière générale, Lauren ne souffrait ici d'aucune distraction. C'était le plein milieu de la journée, la nuit ne menaçait pas de s'abattre sur la ville. Le monde autour offrait à la jeune femme une certaine sécurité – il y avait peu de chances pour que le tueur de Brie frappe ici, devant autant de monde. Si il agissait ainsi, cela revenait quasiment au même que d'aller confesser son crime à la police : c'était la prison assurée. Alors, pour une fois, la jeune femme était paisible. Elle se sentait en sécurité, et rien ne pouvait la distraire de la lecture du Trône de Fer. Elle pouvait enfin retrouver ses héros et les voir évoluer – ou mourir – au fil des pages. Cela lui valait quelques fois la larme à l'oeil lorsqu'elle imaginait ce que devait traverser Jon Snow, ou Tyrion, mais cela lui évitait de passer des heures sur son forum à lire et lire ses potes, et ceux qu'on lui envoyait. En effet, la jeune femme avait pris depuis des années l'habitude d'errer sur un forum sur lequel elle étalait ses états d'âme. Elle avait été plutôt discrète au départ, dévoilant avec le plus de discrétion possible ce qui se déroulait dans sa vie, et puis, au fur et à mesure, « Gingerade » avait appris à se laisser plus aller. Après tout, personne ne pouvait deviner qui elle était, et parmi tous les messages qui étaient postés, il y avait bien peu de chance que quelqu'un de Glastonburry lise ses messages – si seulement un autre habitant était sur le forum. Rapidement, c'était devenu une addiction. Comme elle se livrerait à un journal intime, dès que quelque chose la tracassait, elle allait ouvrir un sujet dans sa section et dire tout ce qui lui passait par la tête. Elle exagérait de temps à autre, se corrigeait dans les posts suivants, mais cela faisait du bien de pouvoir déverser tout ce qui vous passe par la tête sans avoir à s'inquiéter des jugements. A vrai dire, ce forum « People like us » lui était particulièrement devenu salvateur depuis qu'elle avait retrouvé le corps de Brie. Personne ne venait lui dire qu'elle ne devait pas avoir peur, qu'il était grand temps qu'elle se ressaisisse. Au contraire, même, elle recevait des messages de soutien de plusieurs personnes et plus particulièrement de « sk8ter boi ». C'était étrange comme elle avait pu se lier à cette personne sans même savoir qui se cachait derrière son écran d'ordinateur. Cela ne l'intéressait même pas à vrai dire. Elle trouvait en lui un réconfort certain et une oreille attentive. Lauren n'avait pas besoin de plus, et c'était d'ailleurs cent fois que ce que lui offrait tout son entourage. Elle en avait assez des conseils sur comment s'en sortir, elle voulait simplement quelqu'un qui la comprenait et qui lui tendait la main quand elle n'arrivait plus à avancer seule. Un léger sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme à cette pensée, et puis elle tourna sa page et se replongea dans sa lecture. Au bout de quelques minutes à peine cependant, elle releva la tête alors qu'un frisson venait dérange sa lecture. L'on venait d'ouvrir la porte, sans la refermer, et Lauren s'apprêtait à jeter un regard agacé à l'individu coupable, mais elle reconnut sa silhouette et s'affala un peu plus sur son siège. Faussement concentrée sur sa lecture, elle chercha à ralentir les battements de son coeur. Blake Stanwyck était probablement la seule personne que Lauren détestait sincèrement. A vrai dire, la vérité était un peu différente : Blake Stanwyck détestait Lauren. Dès qu'il l'apercevait, il ne pouvait s'empêcher de lui faire subir toutes les misères possibles. Inutile pour la jeune femme de ne pas répondre, il insistait. Certes, la jeune femme n'était pas sans défense – pas totalement, en tout cas – et était plus que capable de se défendre, mais c'était usant à la longue. Elle qui n'avait jamais aimé les confrontations, qui avait toujours évité au maximum les conflits se retrouvait sans avoir le choix, et devait répliquer autant qu'elle le pouvait. En toute honnêteté, elle partait perdante de chacune de leurs disputes ; Lauren n'était pas faite pour ça, elle se laissait rapidement dépasser par ses émotions. Elle savait pertinemment qu'il cherchait à la blesser, à la faire tourner en bourrique, mais pourtant, Lauren prenait chacun des mots qu'elle disait à coeur, et se retrouvait à y repenser pendant des lustres après. Elle poussa un soupir de soulagement lorsqu'elle estima qu'il n'avait pas du la repérer et s'être installé ailleurs, mais alors qu'elle reposait son livre pour prendre une gorgée de café, elle remarqua cette même silhouette. Elle essaya de dissimuler son agacement – et sa crainte aussi de cette confrontation, elle était bien trop fragile pour ça en ce moment -, s'éclaircit la gorge et dit : « Cette place est prise. Au revoir Blake. »
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Blake Stanwyck

Blake Stanwyck

the doctor said my mom should have had an abortion

MESSAGES : 727
PSEUDONYME : midnight wraith, gwennaëlle, gebb
CRÉDITS : midnight wraith

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MessageSujet: Re: Somebody help me tame this animal.   Somebody help me tame this animal. Icon_minitimeDim 7 Oct - 9:58


Lui, il n'y croyait pas à toute cette histoire. Il n'avait jamais pris quoi que ce soit au sérieux dans cette ville, dans cette vie, et ce n'est pas maintenant que ça allait commencer. Tous les jours, des gens crevaient pour des raisons mystérieuses dans des coins paumés. Ce qui s'était passé à Glastonbury relevait du fait divers, un fait divers parmi tant d'autres. Alors oui, il y avait peut-être quelqu'un de dérangé dans les parages. Quelqu'un de dérangé et potentiellement violent. Mais cela faisait une vingtaine d'années qu'il en était convaincu, et l'idée que le reste de la population commençait doucement à s'en rendre compte l'amusait plus qu'autre chose. S'il avait eu la bonne idée d'exprimer un peu plus ses pensées profondes qu'il ne le faisait déjà (alors même qu'il se plaisait déjà à s'exprimer à tort à et travers sur tous les sujets, ce que bon nombre d'habitants lui reprochaient) on le considérerait comme un prophète en son pays, à l'heure actuelle. Plus goguenard que jamais, il arpentait les rues, traînassait, folâtrait, comme un chat errant qui ne semble avoir aucun port d'attache, aucun point d'ancrage, nulle-part où rentrer une fois le soir venu. Et, à l'instar du chat errant qui trimballe ses puces un peu partout, il était détesté de tous. Il y avait bien quelques grand-mère qui se prenaient de pitié pour lui, lui et sa vieille veste de cuir élimée, lui et ses cheveux mal peignés, lui et son parfum bon marché. Elles lui proposaient l'hospitalité, un remontant quelconque, une part de gâteau maison, en échange de quelques minutes de son temps, quelques minutes de son attention. Il les leur donnait volontiers. Blake Stanwyck n'avait jamais été avare de son temps, qu'il lui arrivait de perdre volontairement, sans en ressentir aucun remord. Il les aimait bien ces grand-mères, à sa façon bien à lui, sa façon dénuée d'affection. Il les écoutait, toujours, de façon très attentive : elles en avaient des choses à raconter. Leurs vies étaient cruellement dénuées d'intérêt, et c'est pour cette raison qu'elles passaient leur temps à s'occuper de celles des autres. Une grande part des tuyaux que recevait l'apprenti journaliste provenait de ces grand-mères en question. Le reste, il les glanait par ci, par-là, pas toujours de façon très conforme à la déontologie du métier qu'il comptait bien effectuer un jour. Mais il n'en était qu'au stade d'amateur, aussi ce n'était pas bien grave. Il se moquait bien de mentir pour arriver à ses fins. La vérité, il n'y croyait pas non plus. Dans une autre vie, un univers parallèle, un type d'humanité différent, peut-être, alors, que ce concept aurait pu lui plaire, il aurait pu se dévouer corps et âme afin de le protéger, mais le contexte bien particulier de son existence ne lui permettait pas de voir les choses sous cet angle, et il y avait quelque chose, à propos de la vérité, qu'il trouvait tout à fait absurde - bien que vaguement beau. Ce qu'il trouvait beau, dans le fait de déterrer certains vérités pour les exhiber au grand public, c'était cette fascinante laideur de la vérité toute crue, toute brute, la vérité telle qu'elle est dans son état naturel. Ça aurait presque suffit à faire naître sa vocation. Mais ce qui l'avait vraiment décidé, motivé, ça avait été le pouvoir. Le pouvoir des mots, des images, la possibilité de contrôle, de manipulation. La facilité déconcertante avec laquelle il pouvait changer le quotidien de certaines personnes, rien que par la révélation (ou la dissimulation) de certaines informations judicieusement choisies. C'était ça, qui le faisait rêver. C'était ça, également, qui l'avait poussé à se faire une place dans la vie de Lauren Prescott, à l'insu de cette dernière. C'était ça qui l'avait motivé à se faire passer pour son ami. La découvrir. Découvrir ce qu'elle ne dirait jamais à Blake Stanwyck, mais qui lui était permis de dévoiler à sk8ter boi. Bien conscient que c'était le genre de trucs que sa soeur aurait ajouté à sa liste déjà longue comme mon bras des intitulée 'raisons pour lesquelles Blake devrait consulter un psychologue, voire éventuellement se faire interner'. Ce qu'il n'avait pas prévu, c'est qu'au fil de ces conversations virtuelles, sk8ter boi en viendrait à déteindre sur lui. Il se surprenait à se prendre d'affection pour Lauren. Et il se détestait pour cela. La taquiner, la martyrise, n'étaient plus seulement une passe-temps pour lui, c'était une nécessité, quelque chose de vital qu'il ne devait pas négliger ; il lui fallait remettre les pendules à l'heure avec son moi intérieur. Se rappeler à lui-même que Lauren n'était pas son amie, et que souhaiter la protéger n'était pas une bonne chose. De toute manière, il avait bien compris depuis belle lurette que c'est souvent quand on cherche à protéger quelqu'un qu'on finit par lui faire plus de mal que de bien. S'il devait apporter quelque chose de bon à ses concitoyens, cela devait se faire à sa manière, la manière forte, en leur forgeant le caractère. C'est ce qu'il escomptait faire avec Lauren. Lui forger le caractère. Pas par bonté d'âmes, mais parce qu'il méprisait sa faiblesse, et qu'elle lui donnait envie de se défouler sur elle. Aussi quand il aperçoit son visage à travers la vitrine d'un des cafés de la ville, il ne tergiverse pas bien longtemps avant d'y entrer ; il ne fond pas sur sa proie. Ce n'est pas son genre. Il s'attarde, par-ci par-là, discrètement, distraitement, se fond parmi la foule, observe les visages, et enfin, après avoir ménagé un certain temps de latence, il se dirige vers elle. « Cette place est prise. Au revoir Blake. » Il la regarde. Lui sourit comme si elle était une espèce de chiot un peu mignon et pataud, agitant légèrement la tête de droite à gauche comme si elle venait de sortir quelque chose de particulièrement absurde et amusant à la fois. « C'est mignon, ce petit ton plein d'autorité. C'est nouveau ? » lâche-t-il, narquois, avant de prendre place à ses côtés, méprisant son injonction si naturellement qu'il n'avait peut-être même pas remarqué qu'il lui désobéissait en agissant ainsi. Il s'affale sur la table, entreposant ses bras en vrac dessus, puis glissant son menton sur ses deux mains superposées, le regard toujours fixé droit sur la jolie rousse qui n'avait pas l'air d'avoir l'esprit tranquille. « Pourquoi tant de haine ? » lance-t-il, en secouant légèrement la tête de droite à gauche comme si c'était le comportement de Lauren qui était inapproprié ici. Il essaye tant bien que mal de garder une expression faciale qui respirerait vaguement l'innocence, s'efforçant d'arborer un regard de faon pris dans les feux d'un quatre-quatre, mais c'est peine perdue : son sourire goguenard revient toujours à la surface, s'appropriant les lèvres du jeune homme qui lui revenaient de droit.
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Lauren Prescott

Lauren Prescott

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MessageSujet: Re: Somebody help me tame this animal.   Somebody help me tame this animal. Icon_minitimeLun 12 Nov - 11:35

D'aussi loin qu'elle s'en souvienne, Lauren n'avait rien fait qui puisse justifier l'attitude de Blake vis à vis d'elle. Elle avait beau y réfléchir à chaque fois qu'il s'en prenait à elle, elle ne voyait absolument rien. Pas même un regard de travers, à vrai dire. Mais elle avait toujours été son bouc émissaire, et avait du en payer les frais. Certes, elle avait appris à se défendre, à ne plus se laisser toucher autant par ses remarques mais la belle rousse était quelqu'un d'entier, elle finissait par toujours se prendre au jeu et finir profondément agacée. Ce qui avait tendance à lui faire perdre ses moyens, et elle se trouvait alors aussi efficace que lorsque elle se laissait tétaniser par la peur. C'était une partie d'elle même qu'elle détestait. Elle pouvait tolérer le fait d'être incapable de réagir normalement lorsque la peur s’immisçait dans chacune de ses veines et la paralyser mais que la colère en fasse autant... C'était révoltant, ce qui la mettait encore plus en colère et la rendait encore plus incapable de réagir. Pour l'heure cependant, elle se maîtrisait, relativement. Tous ses nerfs étaient aussi tendus que possible, elle avait tout oublié du chapitre qu'elle était encore entrain de dévorer quelques secondes auparavant, mais elle se maîtrisait encore un minimum. Preuve en était qu'elle avait sortie cette réplique à Blake sans hésiter et en croyant sincèrement que cela suffirait à convaincre le jeune homme d'aller voir ailleurs si elle en était. Du moins, elle essayait de s'en convaincre, mais ce n'était pas vraiment fait d'illusion. Pourtant, quand le jeune homme, fidèle à lui-même, moqua sa réplique et l'ignora même en s'installant juste en face d'elle, Lauren eut envie de balancer son livre et de quitter les lieux, comme une gamine à laquelle on aurait pas accorder un caprice. Mais la directrice des ressources humaines n'avaient que trop conscience que cela serait accorder à cet imbécile heureux exactement ce qu'il désirait, alors elle s'enfonça un peu plus dans son siège et réfléchit à une autre tactique de le chasser. Elle ne répondit pas et feint de reprendre sa lecture comme si il ne se trouvait absolument pas devant elle, espérant que cela finirait par le convaincre de partir, lui montrerait qu'il n'obtiendrait absolument rien d'elle. N'y voyez pas une preuve de l'égoïsme de la jeune femme, dans sa grande générosité, elle lui aurait volontiers envoyer son poing dans la figure mais le problème était qu'elle se serait probablement briser la main en faisant cela. Ainsi, en plus d'avoir l'air parfaitement ridicule, la demoiselle n'aurait probablement même pas blesser cet énergumène.
Cependant, elle était bien évidemment incapable de se remettre dans son livre et le fait de savoir que Blake se trouvait là à la fixer n'aidait en rien. « QUOI ?! » finit-elle par lâcher de manière bien plus sonore qu'elle ne s'y attendait. Après avoir lancé un regard désolé autour d'elle, la jeune femme se rapprocha légèrement de l'emmerdeur – mais pas trop. « Qu'est-ce que tu veux Blake ? A part me faire perdre mon temps. ». Pourtant, malgré l'apparence qu'elle donnait, Lauren n'avait que trop conscience qu'elle était entrain de perdre ses moyens et qu'elle ne tarderait pas à avoir l'air parfaitement ridicule désarçonnée par le sourire, tout sauf innocent, de cet individu horripilant. Il n'y avait rien qu'elle puisse faire sinon essayer de se calmer mais à moins qu'il ne se résolve à quitter la pièce, la demoiselle ne voyait vraiment pas comment elle pourrait se calmer. Elle essaya mentalement les exercices de respiration que lui avait conseillé son psychiatre pour les moments où elle était en proie à une crise d'angoisse mais cela ne semblait pas suffisant ni même efficace pour le moins du monde. Elle aurait probablement mieux fait de se rassembler ses affaires et de quitter les lieux mais Lauren pouvait parfois une fierté mal placée, et semblerait-il, c'était le moment qu'elle avait choisi pour se manifester. Alors, elle restait assise, prostrée sur son siège attendant la prochaine boutade que lui lancerait celui que l'on pouvait appeler son ennemi, sachant pertinemment qu'elle n'aurait d'autres choix que d'accepter les coups qui lui porteraient. Tout ce qu'elle pourrait faire serait essayer de répliquer pour lui montrer que rien de ce qu'il ferait ne pourrait l'atteindre. Après tout, elle était en sécurité ici. Pas de risque qu'elle soit prise d'une crise d'angoisse, ce qui était une chose d'une valeur inestimable lorsque Blake se trouvait dans la pièce. Elle n'osait imaginer le comportement qu'il aurait si jamais il la trouvait en proie à une de ses crises d'angoisse. Il trouvait très probablement le moyen de l'inquiéter encore plus – tout en filmant pour poster le tout sur youtube, oui cela lui ressemblait bien. « Tu n'as personne d'autre à embêter ? » lança-t-elle dans un mélange d'agacement et de supplication.
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MessageSujet: Re: Somebody help me tame this animal.   Somebody help me tame this animal. Icon_minitime

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